• Psychothérapie, suivi psychologique adultes/ jeunes adultes dès 16 ans, conseil psychologique • Individuel, couple, famille • Remboursée par l'assurance de base sous prescription médicale • Orientation psychanalytique, systémique, psychotraumatologie dont EMDR (approche intégrative), outils TCC (estime de soi, phobie sociale, anxiété généralisée,...) • Supervision de psychothérapeutes (psychologues, psychiatre, éducateur social,...) • Formatrice agréée en psychothérapie à la FARP (formation des associations romandes et tessinoises des Psychologues) • Membre de la Fédération Suisse des Psychologues FSP : Mumtazi Bibi Boolakee (psychologie.ch) • Membre de l'Association Vaudoise des Psychologues Profile :: AVP (psy-vd.ch) • CV sur https://www.linkedin.com/in/mumtazi-bibi-boolakee-7a27807b

La médiation familiale a pour sujet principal le couple, ainsi que les relations entre parents et enfants. La médiation met en lumière les dynamiques qui créent des difficultés à communiquer. Le médiateur propose un chemin vers la résolution des conflits. Il est à l’écoute des émotions de chacun. Il offre d’avancer dans un processus menant vers une clarification des positions. Il favorise ce qui peut conduire à un mieux-être. Il contribue à la mise en place de solutions.

Les consultations sont remboursées par l’assurance maladie LaMal sur prescription médicale. Merci de demander une ordonnance avant de débuter le suivi. Actuellement, et de manière temporaire, seules les consultations en visioconférence sont proposées. Psychologue FSP, addictologue, psychothérapeute d’une approche intégrative: systémique et ericsonienne et sexologue clinicienne. Maitrise en art. Mon métier n’est pas seulement un travail, mais aussi une passion et une mission que j’apporte chaque jour aux personnes qui ont besoin de mon aide. J’apprécie le contact humain – ayant démarré mes études par une maîtrise en art, j’ai pu apprendre et me sensibiliser aux fonctionnement psychique et aux problématiques relationnelles par l’utilisation du psychodrame. L’intérêt dans le domaine de la psychologie s’est révélé si fort que j’ai décidé de poursuivre mes études dans le domaine de la psychologie clinique et de la psychothérapie jusqu’à la dernière décision de compléter mon parcours par un CAS en sexologie. L’expérience acquise lors de stages, bénévolats et résultant d’un travail professionnel dans des nombreuses institutions en Suisse et en Pologne m’a menée à m’orienter vers le travail avec des patients individuels adultes ainsi que des couples et des familles. En tant que psychothérapeute, sexologue et addictologue, j’accompagne des individus et des couples confrontés à diverses difficultés personnelles ou relationnelles. Je prends en charge notamment : • Les troubles anxieux, stress, phobies, crises de panique • Les troubles de l’humeur (dépression, épuisement, fluctuations émotionnelles) • Les difficultés relationnelles (conflits familiaux, de couple, communication) • Les problématiques sexuelles (troubles du désir, douleurs, dysfonctionnements sexuels, questions autour de l’identité ou de l’orientation sexuelle, addictions) • Les troubles du comportement alimentaire (TCA) • Les dépendances et conduites addictives (alcool, drogues, écrans, jeux, sexualité, etc.) • Les périodes de transition, de deuil ou de remise en question personnelle Mon approche est systémique, globale et intégrative, attentive aux liens, aux émotions, aux histoires de vie et aux ressources de chaque personne. Je consulte en français, anglais et polonais. Les séances se déroulent dans un cadre bienveillant, respectueux et confidentiel.

Pour quelles raisons les gens font-ils en général appel à un sexothérapeute ? Les problèmes les plus courants sont les pertes de contrôle (troubles érectiles, impuissance) chez les hommes, la perte de la libido chez les femmes, et les troubles de l’identité et de l’orientation sexuelle. L’association suisse des psychologues sexologues cliniciens a été créée vendredi 16 janvier 2009 à Lausanne. Cela reflète le développement de cette branche, explique le sexothérapeute lausannois, membre du comité. La sexologie n’est pas une nouveauté. Qu’est-ce qui vous incite à constituer cette association maintenant? La formation en sexologie s’est effectivement mise en place dans les années 1970, mais, désormais, on applique beaucoup plus toutes ces données dans la prise en charge des patients, d’où le terme clinicien. Comme nous sommes toujours plus nombreux, que les problèmes sexuels sont de plus en plus présents et que nous sommes plus demandés, nous avons pensé que c’est le moment de nous faire connaître, de montrer qu’il y a des spécialistes formés (pour la Suisse romande, ce diplôme postgrade s’obtient à l’Université de Genève) et qu’ils répondent à un besoin. Pourquoi augmente-t-il? Les thérapeutes non formés n’abordent pas ces problèmes avec leurs patients, qui font donc appel à nous. Avec l’évolution de la société, des mœurs, des mentalités, et des rapports entre homme et femme, il y a de plus en plus de questions sur la sexualité et les gens y cherchent des réponses; il est aujourd’hui possible d’en parler, alors que ce n’était pas le cas avant.

J’ai vécu une séance de constellations familiales avec Amélie en visio, et ce fut un moment puissant. Dès le début, son écoute bienveillante m’a mis en confiance. Grâce à son accompagnement précis, j’ai pu explorer des schémas familiaux inconscients et en comprendre l’impact sur ma vie. Les prises de conscience ont été profondes, révélant des blocages que je portais sans en avoir toujours conscience. Au fil de la séance, une véritable libération s’est opérée, me laissant avec un sentiment de légèreté et d’alignement intérieur. Malgré la distance, l’intensité des émotions et des énergies en mouvement était bien présente. Cette séance m’a apporté apaisement et clarté. Un immense merci à Amélie pour son accompagnement juste et humain.