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Banquet à Lac

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RestaurantCafé, RestaurantPizzeriaBanquet
Route de Châtel-St-Denis 42, 1805 Jongny
RestaurantCafé, RestaurantPizzeriaBanquet
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Restaurant les 3 Suisses Restaurant familliale, Cuisine ouverte jusqu'à 22h00 ! En Eté, installé sur notre terrasse panoramique pour profiter de cette superbe vue imprenable sur le Lac Léman et le vignoble de Lavaux, les sites palafittiques, l'œuvre architecturale de Le Corbusier, les archives du Montreux Jazz Festival et la Fête des Vignerons de Vevey forment à ce jour la contribution vaudoise au patrimoine mondial de l'UNESCO. Vous rêvez de venir passer un moment de détente dans une bonne ambiance et dans un cadre idyllique, alors vous êtes au bon endroit avec les enfants ou sans. Parmi nos spécialité, les viandes sur ardoise, Filets de perches, Tartare de boeuf, ainsi que notre délicieux Pavé de Thon Rose au Fois Gras et son vinaigre de franboise ! Mais aussi notre carte qui change au gré des saisons ! en octobre la carte de la Chasse ! Nous vous accueillons également pour vos soirées: Privées Repas de famille Banquets Baptêmes Anniversaire Alors, nous vous attendons avec grand plaisir, n'hésitez pas à nous contacter pour toutes autres informations.

Note 4.2 sur 5 étoiles pour 11 évaluations

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BADEHAUS.CH

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Seestrasse 710, 8706 Meilen
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Centre Général Guisan

Centre Général Guisan

Avenue Général-Guisan 117, 1009 Pully

Le Centre Général Guisan est situé à Pully à proximité de Lausanne, dans un parc d’une superficie d’un hectare au bord du Leman. C'est un lieu privilégié de rencontres, d’études et de mémoire. Sous le nom de Verte Rive, la propriété fut la demeure, jusqu’à son décès en 1960, du Général Guisan, commandant en chef de l’Armée suisse pendant la Deuxième Guerre mondiale 1939-1945. Propriété de la Confédération Suisse depuis 1971, Verte Rive est aujourd’hui un centre géré par une association de droit privé. Centre Général Guisan - historique historique du Général Origine On trouve la famille Guisan dès le XVème siècle dans le canton de Vaud. Les Guisan, châtelains d’Avenches, seigneurs de Donatyre et d’Oleyres durent céder leurs biens et leurs charges à Leurs Excellences de Berne au moment de l’occupation du Pays de Vaud. Par sa mère, Henri Guisan descend des châtelains de Beaufort en France, famille huguenote émigrée en Suisse à la Révocation de l’Edit de Nantes en 1685. Devise de la famille de Henri Guisan, bourgeois d’Avenches : « It recte nihil timet » (Le juste n’a rien à craindre). Jeunesse Henri Guisan voit le jour le 21 octobre 1874 à Mézières, Vaud où son père exerce la profession de médecin de campagne. En 1893, il obtient le baccalauréat ès lettres après avoir fréquenté le collège classique cantonal et le gymnase à Lausanne. Membre de la Société d’étudiant de Zofingue, il entreprend des études de médecine qu’il abandonne bien vite pour s’orienter vers l’agronomie. Dès 1897, il exploite un domaine agricole situé à Chesalles sur Oron et fonde un foyer en épousant Mary Doelker. Carrière militaire 1894 Ecole de recrues à Bière dans l’artillerie hippomobile (arme dans laquelle il pouvait assouvir sa passion pour le cheval). 1894 Lieutenant 1898 Premier-lieutenant 1904 Capitaine, commandant de la batterie de campagne 6. 1908 Capitaine à l’état-major général (EMG) 1909 Major EMG 1913 Major d’infanterie, commandant du bataillon de fusiliers 2 1916 Lieutenant-colonel EMG puis 1919 Commandant ad interim du régiment d’infanterie 9 1920 Colonel d’infanterie, commandant de la brigade d’infanterie 5 1926 Colonel divisionnaire*, commandant de la 2e division puis 1931 Colonel divisionnaire, commandant de la 1ère division 1932 Colonel commandant de corps d’armée, commandant du 2e corps d’armée puis 1933 Colonel commandant de corps, commandant du 1er corps d’armée 1939 Général, élu par l’Assemblée fédérale le 30 août, commandant en chef de l’armée. Jusqu’à sa nomination au grade de colonel divisionnaire, Henri Guisan conserve son statut d’officier de milice tout en accomplissant de nombreux services comme officier instructeur volontaire. * Les officiers généraux portaient alors le grade de colonel brigadier, colonel divisionnaire et colonel commandant de corps. La mention " colonel " a été supprimée dans les années 1960. La mission donnée à l’armée et à son chef pour la période de la Deuxième Guerre Mondiale 1939 - 1945 peut se résumer en une phrase " Sauvegarder l’indépendance du pays et maintenir l’intégrité du territoire ". Cette mission a amené le Général Guisan à prendre les décisions stratégiques dictées par la situation et son évolution tout au long de son temps de commandement. D’un dispositif d’attente dicté par le statut de neutralité du pays après la mobilisation, l’armée a gagné le dispositif de combat du Réduit dans le secteur alpin alors que la Suisse était encerclée par les Forces de l’Axe pour revenir, dans la dernière phase de la guerre, à un dispositif de couverture des frontières. Le 20 août 1945, le Général Henri Guisan pouvait quitter son commandement avec le sentiment d’avoir rempli la mission qui lui avait été confiée. Jusqu’à sa mort, le 7 avril 1960, le Général Henri Guisan a pu mesurer sa popularité à travers les innombrables témoignages de reconnaissance exprimés par le peuple suisse. Le Centre Général Guisan Sous le nom de Verte Rive, la propriété qui abrite aujourd’hui le CENTRE GENERAL GUISAN fut la demeure du Général Henri Guisan, commandant en chef de l’armée suisse durant la période 1939 - 1945. Les bâtiments, construits par le père de la future épouse du général Mary Doelker dans les année 1867 à 1874, étaient destinées à l’habitat et l’exploitation agricole dans un environnement voué alors à l’agriculture et à la production vinicole. Henri Guisan s’y installa en 1902 et y resta jusqu’à sa mort en 1960. Achetée par la Confédération en 1971, la propriété de Verte Rive devint le siège du CENTRE D’HISTOIRE ET DE PROSPECTIVE MILITAIRES grâce à la SOCIETE VAUDOISE DES OFFICIERS (SVO) à laquelle la Confédération concède un droit de superficie sur l’un des pavillons. Dès 1974, ce pavillon aménagé permet la réunion de nombreuses sociétés, en particulier militaires. Le fils du général, le colonel Henry Guisan, occupa la villa jusqu’à son décès en 1990.

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Conférences congrès séminairesBanquetMariage
Avenue Général-Guisan 117, 1009 Pully
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Le Centre Général Guisan est situé à Pully à proximité de Lausanne, dans un parc d’une superficie d’un hectare au bord du Leman. C'est un lieu privilégié de rencontres, d’études et de mémoire. Sous le nom de Verte Rive, la propriété fut la demeure, jusqu’à son décès en 1960, du Général Guisan, commandant en chef de l’Armée suisse pendant la Deuxième Guerre mondiale 1939-1945. Propriété de la Confédération Suisse depuis 1971, Verte Rive est aujourd’hui un centre géré par une association de droit privé. Centre Général Guisan - historique historique du Général Origine On trouve la famille Guisan dès le XVème siècle dans le canton de Vaud. Les Guisan, châtelains d’Avenches, seigneurs de Donatyre et d’Oleyres durent céder leurs biens et leurs charges à Leurs Excellences de Berne au moment de l’occupation du Pays de Vaud. Par sa mère, Henri Guisan descend des châtelains de Beaufort en France, famille huguenote émigrée en Suisse à la Révocation de l’Edit de Nantes en 1685. Devise de la famille de Henri Guisan, bourgeois d’Avenches : « It recte nihil timet » (Le juste n’a rien à craindre). Jeunesse Henri Guisan voit le jour le 21 octobre 1874 à Mézières, Vaud où son père exerce la profession de médecin de campagne. En 1893, il obtient le baccalauréat ès lettres après avoir fréquenté le collège classique cantonal et le gymnase à Lausanne. Membre de la Société d’étudiant de Zofingue, il entreprend des études de médecine qu’il abandonne bien vite pour s’orienter vers l’agronomie. Dès 1897, il exploite un domaine agricole situé à Chesalles sur Oron et fonde un foyer en épousant Mary Doelker. Carrière militaire 1894 Ecole de recrues à Bière dans l’artillerie hippomobile (arme dans laquelle il pouvait assouvir sa passion pour le cheval). 1894 Lieutenant 1898 Premier-lieutenant 1904 Capitaine, commandant de la batterie de campagne 6. 1908 Capitaine à l’état-major général (EMG) 1909 Major EMG 1913 Major d’infanterie, commandant du bataillon de fusiliers 2 1916 Lieutenant-colonel EMG puis 1919 Commandant ad interim du régiment d’infanterie 9 1920 Colonel d’infanterie, commandant de la brigade d’infanterie 5 1926 Colonel divisionnaire*, commandant de la 2e division puis 1931 Colonel divisionnaire, commandant de la 1ère division 1932 Colonel commandant de corps d’armée, commandant du 2e corps d’armée puis 1933 Colonel commandant de corps, commandant du 1er corps d’armée 1939 Général, élu par l’Assemblée fédérale le 30 août, commandant en chef de l’armée. Jusqu’à sa nomination au grade de colonel divisionnaire, Henri Guisan conserve son statut d’officier de milice tout en accomplissant de nombreux services comme officier instructeur volontaire. * Les officiers généraux portaient alors le grade de colonel brigadier, colonel divisionnaire et colonel commandant de corps. La mention " colonel " a été supprimée dans les années 1960. La mission donnée à l’armée et à son chef pour la période de la Deuxième Guerre Mondiale 1939 - 1945 peut se résumer en une phrase " Sauvegarder l’indépendance du pays et maintenir l’intégrité du territoire ". Cette mission a amené le Général Guisan à prendre les décisions stratégiques dictées par la situation et son évolution tout au long de son temps de commandement. D’un dispositif d’attente dicté par le statut de neutralité du pays après la mobilisation, l’armée a gagné le dispositif de combat du Réduit dans le secteur alpin alors que la Suisse était encerclée par les Forces de l’Axe pour revenir, dans la dernière phase de la guerre, à un dispositif de couverture des frontières. Le 20 août 1945, le Général Henri Guisan pouvait quitter son commandement avec le sentiment d’avoir rempli la mission qui lui avait été confiée. Jusqu’à sa mort, le 7 avril 1960, le Général Henri Guisan a pu mesurer sa popularité à travers les innombrables témoignages de reconnaissance exprimés par le peuple suisse. Le Centre Général Guisan Sous le nom de Verte Rive, la propriété qui abrite aujourd’hui le CENTRE GENERAL GUISAN fut la demeure du Général Henri Guisan, commandant en chef de l’armée suisse durant la période 1939 - 1945. Les bâtiments, construits par le père de la future épouse du général Mary Doelker dans les année 1867 à 1874, étaient destinées à l’habitat et l’exploitation agricole dans un environnement voué alors à l’agriculture et à la production vinicole. Henri Guisan s’y installa en 1902 et y resta jusqu’à sa mort en 1960. Achetée par la Confédération en 1971, la propriété de Verte Rive devint le siège du CENTRE D’HISTOIRE ET DE PROSPECTIVE MILITAIRES grâce à la SOCIETE VAUDOISE DES OFFICIERS (SVO) à laquelle la Confédération concède un droit de superficie sur l’un des pavillons. Dès 1974, ce pavillon aménagé permet la réunion de nombreuses sociétés, en particulier militaires. Le fils du général, le colonel Henry Guisan, occupa la villa jusqu’à son décès en 1990.

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 Fermé – Ouvre aujourd’hui à 10:00
Restaurant de la Tour-de-Gourze

Note 4.7 sur 5 étoiles pour 13 évaluations

Restaurant de la Tour-de-Gourze

Route de la Tour-de-Gourze 26, 1097 Riex
Haut lieu de la fondue vaudoise !

Le café-restaurant de la Tour de Gourze vous propose bien-entendu des spécialités aux fromages mais également des assiettes de viandes froides et des desserts copieux, comme par exemple des meringues à la double crème de gruyère, des gâteaux aux fruits « fait-maison » le dimanche. En période hivernale, vous pourrez y déguster une bonne saucisse aux choux avec des röstis. C’est en 1900 que le restaurant fut construit par la famille Bujard, paysans – vignerons à Riex. Ils trouvèrent par ce café le moyen d’écouler leur vin. En 1922, ils vendirent leur restaurant à M et Mme Angèle et Daniel Banderet. M et Mme Banderet avaient visité plusieurs établissements mais choisirent celui-ci car le « toit était bon ». Ils s’installèrent en juillet 1922. A ce moment-là, il n’y avait ni eau, ni électricité, ni route. L’électricité a été installée en 1923 et le téléphone en 1931. L’eau a été amenée en 1939 et la route fut construite en 1971. A la suite d’un orage en juin 1942, le feu détruisit le café et pratiquement rien n’a pu être sauvé. Il a fallu tout reconstruire, plus beau qu’avant ! Les murs en pierre sont donc d’origine et c’est à ce moment-là que le café devint un chalet. Un membre du Club Alpin Suisse, section des Diablerets, a offert une table à la suite de l’incendie. Cette table est toujours visible dans le restaurant, pensez-y lors de votre prochaine visite. Malgré le décès de son mari, Mme Angèle Banderet continua à s’occuper du restaurant avec l’aide de sa fille jusqu’en 1980. Bien qu’ayant déposé sa patente en 1968, ce n’est qu’en 1980 que Mme Angèle Cossy-Banderet repris le commerce suite au décès de sa maman. Elle entreprit de nombreux travaux afin d’améliorer le confort du café. Elle tint le restaurant jusqu’en 2003, date à laquelle elle passa le relais à sa petite-fille, Christine Martin-Cossy. Le restaurant est donc dans la famille depuis de nombreuses années et est, pour de nombreux vaudois, synonyme de souvenirs tels que courses d’école, repas entre amis ou famille, rendez-vous amoureux, etc…

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RestaurantCafé, RestaurantCuisine suisseBanquet
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Haut lieu de la fondue vaudoise !

Le café-restaurant de la Tour de Gourze vous propose bien-entendu des spécialités aux fromages mais également des assiettes de viandes froides et des desserts copieux, comme par exemple des meringues à la double crème de gruyère, des gâteaux aux fruits « fait-maison » le dimanche. En période hivernale, vous pourrez y déguster une bonne saucisse aux choux avec des röstis. C’est en 1900 que le restaurant fut construit par la famille Bujard, paysans – vignerons à Riex. Ils trouvèrent par ce café le moyen d’écouler leur vin. En 1922, ils vendirent leur restaurant à M et Mme Angèle et Daniel Banderet. M et Mme Banderet avaient visité plusieurs établissements mais choisirent celui-ci car le « toit était bon ». Ils s’installèrent en juillet 1922. A ce moment-là, il n’y avait ni eau, ni électricité, ni route. L’électricité a été installée en 1923 et le téléphone en 1931. L’eau a été amenée en 1939 et la route fut construite en 1971. A la suite d’un orage en juin 1942, le feu détruisit le café et pratiquement rien n’a pu être sauvé. Il a fallu tout reconstruire, plus beau qu’avant ! Les murs en pierre sont donc d’origine et c’est à ce moment-là que le café devint un chalet. Un membre du Club Alpin Suisse, section des Diablerets, a offert une table à la suite de l’incendie. Cette table est toujours visible dans le restaurant, pensez-y lors de votre prochaine visite. Malgré le décès de son mari, Mme Angèle Banderet continua à s’occuper du restaurant avec l’aide de sa fille jusqu’en 1980. Bien qu’ayant déposé sa patente en 1968, ce n’est qu’en 1980 que Mme Angèle Cossy-Banderet repris le commerce suite au décès de sa maman. Elle entreprit de nombreux travaux afin d’améliorer le confort du café. Elle tint le restaurant jusqu’en 2003, date à laquelle elle passa le relais à sa petite-fille, Christine Martin-Cossy. Le restaurant est donc dans la famille depuis de nombreuses années et est, pour de nombreux vaudois, synonyme de souvenirs tels que courses d’école, repas entre amis ou famille, rendez-vous amoureux, etc…

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Équipement de la chambre
Formes de nutrition
Viande fraîche, poisson et fruits de mer
Restrictions alimentaires
Services de soins à domicile et modes d'hébergement
Service
Type d’hébergement
Offres d'activation
Distinctions
Types de restauration
Accessibilité universelle
Services
Gastronomie & Événements
Offres de soins et modes de logement
Offre d'activation
Travailler dans l'établissement
Standard hôtelier
Offres festives et délices
Axes d'accompagnement
Gastronomie et événements
Catégories d'aliments
Soins de courte durée
Service traiteur & restauration
Marques hôtelières & chaînes
Services Spitex
Soins à court terme
Spécialités (par pays)
Travailler dans les soins
Soins cutanés
Type de massage
Produits
Styling

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Restaurant les 3 Suisses Restaurant familliale, Cuisine ouverte jusqu'à 22h00 ! En Eté, installé sur notre terrasse panoramique pour profiter de cette superbe vue imprenable sur le Lac Léman et le vignoble de Lavaux, les sites palafittiques, l'œuvre architecturale de Le Corbusier, les archives du Montreux Jazz Festival et la Fête des Vignerons de Vevey forment à ce jour la contribution vaudoise au patrimoine mondial de l'UNESCO. Vous rêvez de venir passer un moment de détente dans une bonne ambiance et dans un cadre idyllique, alors vous êtes au bon endroit avec les enfants ou sans. Parmi nos spécialité, les viandes sur ardoise, Filets de perches, Tartare de boeuf, ainsi que notre délicieux Pavé de Thon Rose au Fois Gras et son vinaigre de franboise ! Mais aussi notre carte qui change au gré des saisons ! en octobre la carte de la Chasse ! Nous vous accueillons également pour vos soirées: Privées Repas de famille Banquets Baptêmes Anniversaire Alors, nous vous attendons avec grand plaisir, n'hésitez pas à nous contacter pour toutes autres informations.

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Avenue Général-Guisan 117, 1009 Pully

Le Centre Général Guisan est situé à Pully à proximité de Lausanne, dans un parc d’une superficie d’un hectare au bord du Leman. C'est un lieu privilégié de rencontres, d’études et de mémoire. Sous le nom de Verte Rive, la propriété fut la demeure, jusqu’à son décès en 1960, du Général Guisan, commandant en chef de l’Armée suisse pendant la Deuxième Guerre mondiale 1939-1945. Propriété de la Confédération Suisse depuis 1971, Verte Rive est aujourd’hui un centre géré par une association de droit privé. Centre Général Guisan - historique historique du Général Origine On trouve la famille Guisan dès le XVème siècle dans le canton de Vaud. Les Guisan, châtelains d’Avenches, seigneurs de Donatyre et d’Oleyres durent céder leurs biens et leurs charges à Leurs Excellences de Berne au moment de l’occupation du Pays de Vaud. Par sa mère, Henri Guisan descend des châtelains de Beaufort en France, famille huguenote émigrée en Suisse à la Révocation de l’Edit de Nantes en 1685. Devise de la famille de Henri Guisan, bourgeois d’Avenches : « It recte nihil timet » (Le juste n’a rien à craindre). Jeunesse Henri Guisan voit le jour le 21 octobre 1874 à Mézières, Vaud où son père exerce la profession de médecin de campagne. En 1893, il obtient le baccalauréat ès lettres après avoir fréquenté le collège classique cantonal et le gymnase à Lausanne. Membre de la Société d’étudiant de Zofingue, il entreprend des études de médecine qu’il abandonne bien vite pour s’orienter vers l’agronomie. Dès 1897, il exploite un domaine agricole situé à Chesalles sur Oron et fonde un foyer en épousant Mary Doelker. Carrière militaire 1894 Ecole de recrues à Bière dans l’artillerie hippomobile (arme dans laquelle il pouvait assouvir sa passion pour le cheval). 1894 Lieutenant 1898 Premier-lieutenant 1904 Capitaine, commandant de la batterie de campagne 6. 1908 Capitaine à l’état-major général (EMG) 1909 Major EMG 1913 Major d’infanterie, commandant du bataillon de fusiliers 2 1916 Lieutenant-colonel EMG puis 1919 Commandant ad interim du régiment d’infanterie 9 1920 Colonel d’infanterie, commandant de la brigade d’infanterie 5 1926 Colonel divisionnaire*, commandant de la 2e division puis 1931 Colonel divisionnaire, commandant de la 1ère division 1932 Colonel commandant de corps d’armée, commandant du 2e corps d’armée puis 1933 Colonel commandant de corps, commandant du 1er corps d’armée 1939 Général, élu par l’Assemblée fédérale le 30 août, commandant en chef de l’armée. Jusqu’à sa nomination au grade de colonel divisionnaire, Henri Guisan conserve son statut d’officier de milice tout en accomplissant de nombreux services comme officier instructeur volontaire. * Les officiers généraux portaient alors le grade de colonel brigadier, colonel divisionnaire et colonel commandant de corps. La mention " colonel " a été supprimée dans les années 1960. La mission donnée à l’armée et à son chef pour la période de la Deuxième Guerre Mondiale 1939 - 1945 peut se résumer en une phrase " Sauvegarder l’indépendance du pays et maintenir l’intégrité du territoire ". Cette mission a amené le Général Guisan à prendre les décisions stratégiques dictées par la situation et son évolution tout au long de son temps de commandement. D’un dispositif d’attente dicté par le statut de neutralité du pays après la mobilisation, l’armée a gagné le dispositif de combat du Réduit dans le secteur alpin alors que la Suisse était encerclée par les Forces de l’Axe pour revenir, dans la dernière phase de la guerre, à un dispositif de couverture des frontières. Le 20 août 1945, le Général Henri Guisan pouvait quitter son commandement avec le sentiment d’avoir rempli la mission qui lui avait été confiée. Jusqu’à sa mort, le 7 avril 1960, le Général Henri Guisan a pu mesurer sa popularité à travers les innombrables témoignages de reconnaissance exprimés par le peuple suisse. Le Centre Général Guisan Sous le nom de Verte Rive, la propriété qui abrite aujourd’hui le CENTRE GENERAL GUISAN fut la demeure du Général Henri Guisan, commandant en chef de l’armée suisse durant la période 1939 - 1945. Les bâtiments, construits par le père de la future épouse du général Mary Doelker dans les année 1867 à 1874, étaient destinées à l’habitat et l’exploitation agricole dans un environnement voué alors à l’agriculture et à la production vinicole. Henri Guisan s’y installa en 1902 et y resta jusqu’à sa mort en 1960. Achetée par la Confédération en 1971, la propriété de Verte Rive devint le siège du CENTRE D’HISTOIRE ET DE PROSPECTIVE MILITAIRES grâce à la SOCIETE VAUDOISE DES OFFICIERS (SVO) à laquelle la Confédération concède un droit de superficie sur l’un des pavillons. Dès 1974, ce pavillon aménagé permet la réunion de nombreuses sociétés, en particulier militaires. Le fils du général, le colonel Henry Guisan, occupa la villa jusqu’à son décès en 1990.

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Le Centre Général Guisan est situé à Pully à proximité de Lausanne, dans un parc d’une superficie d’un hectare au bord du Leman. C'est un lieu privilégié de rencontres, d’études et de mémoire. Sous le nom de Verte Rive, la propriété fut la demeure, jusqu’à son décès en 1960, du Général Guisan, commandant en chef de l’Armée suisse pendant la Deuxième Guerre mondiale 1939-1945. Propriété de la Confédération Suisse depuis 1971, Verte Rive est aujourd’hui un centre géré par une association de droit privé. Centre Général Guisan - historique historique du Général Origine On trouve la famille Guisan dès le XVème siècle dans le canton de Vaud. Les Guisan, châtelains d’Avenches, seigneurs de Donatyre et d’Oleyres durent céder leurs biens et leurs charges à Leurs Excellences de Berne au moment de l’occupation du Pays de Vaud. Par sa mère, Henri Guisan descend des châtelains de Beaufort en France, famille huguenote émigrée en Suisse à la Révocation de l’Edit de Nantes en 1685. Devise de la famille de Henri Guisan, bourgeois d’Avenches : « It recte nihil timet » (Le juste n’a rien à craindre). Jeunesse Henri Guisan voit le jour le 21 octobre 1874 à Mézières, Vaud où son père exerce la profession de médecin de campagne. En 1893, il obtient le baccalauréat ès lettres après avoir fréquenté le collège classique cantonal et le gymnase à Lausanne. Membre de la Société d’étudiant de Zofingue, il entreprend des études de médecine qu’il abandonne bien vite pour s’orienter vers l’agronomie. Dès 1897, il exploite un domaine agricole situé à Chesalles sur Oron et fonde un foyer en épousant Mary Doelker. Carrière militaire 1894 Ecole de recrues à Bière dans l’artillerie hippomobile (arme dans laquelle il pouvait assouvir sa passion pour le cheval). 1894 Lieutenant 1898 Premier-lieutenant 1904 Capitaine, commandant de la batterie de campagne 6. 1908 Capitaine à l’état-major général (EMG) 1909 Major EMG 1913 Major d’infanterie, commandant du bataillon de fusiliers 2 1916 Lieutenant-colonel EMG puis 1919 Commandant ad interim du régiment d’infanterie 9 1920 Colonel d’infanterie, commandant de la brigade d’infanterie 5 1926 Colonel divisionnaire*, commandant de la 2e division puis 1931 Colonel divisionnaire, commandant de la 1ère division 1932 Colonel commandant de corps d’armée, commandant du 2e corps d’armée puis 1933 Colonel commandant de corps, commandant du 1er corps d’armée 1939 Général, élu par l’Assemblée fédérale le 30 août, commandant en chef de l’armée. Jusqu’à sa nomination au grade de colonel divisionnaire, Henri Guisan conserve son statut d’officier de milice tout en accomplissant de nombreux services comme officier instructeur volontaire. * Les officiers généraux portaient alors le grade de colonel brigadier, colonel divisionnaire et colonel commandant de corps. La mention " colonel " a été supprimée dans les années 1960. La mission donnée à l’armée et à son chef pour la période de la Deuxième Guerre Mondiale 1939 - 1945 peut se résumer en une phrase " Sauvegarder l’indépendance du pays et maintenir l’intégrité du territoire ". Cette mission a amené le Général Guisan à prendre les décisions stratégiques dictées par la situation et son évolution tout au long de son temps de commandement. D’un dispositif d’attente dicté par le statut de neutralité du pays après la mobilisation, l’armée a gagné le dispositif de combat du Réduit dans le secteur alpin alors que la Suisse était encerclée par les Forces de l’Axe pour revenir, dans la dernière phase de la guerre, à un dispositif de couverture des frontières. Le 20 août 1945, le Général Henri Guisan pouvait quitter son commandement avec le sentiment d’avoir rempli la mission qui lui avait été confiée. Jusqu’à sa mort, le 7 avril 1960, le Général Henri Guisan a pu mesurer sa popularité à travers les innombrables témoignages de reconnaissance exprimés par le peuple suisse. Le Centre Général Guisan Sous le nom de Verte Rive, la propriété qui abrite aujourd’hui le CENTRE GENERAL GUISAN fut la demeure du Général Henri Guisan, commandant en chef de l’armée suisse durant la période 1939 - 1945. Les bâtiments, construits par le père de la future épouse du général Mary Doelker dans les année 1867 à 1874, étaient destinées à l’habitat et l’exploitation agricole dans un environnement voué alors à l’agriculture et à la production vinicole. Henri Guisan s’y installa en 1902 et y resta jusqu’à sa mort en 1960. Achetée par la Confédération en 1971, la propriété de Verte Rive devint le siège du CENTRE D’HISTOIRE ET DE PROSPECTIVE MILITAIRES grâce à la SOCIETE VAUDOISE DES OFFICIERS (SVO) à laquelle la Confédération concède un droit de superficie sur l’un des pavillons. Dès 1974, ce pavillon aménagé permet la réunion de nombreuses sociétés, en particulier militaires. Le fils du général, le colonel Henry Guisan, occupa la villa jusqu’à son décès en 1990.

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Restaurant de la Tour-de-Gourze

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Route de la Tour-de-Gourze 26, 1097 Riex
Haut lieu de la fondue vaudoise !

Le café-restaurant de la Tour de Gourze vous propose bien-entendu des spécialités aux fromages mais également des assiettes de viandes froides et des desserts copieux, comme par exemple des meringues à la double crème de gruyère, des gâteaux aux fruits « fait-maison » le dimanche. En période hivernale, vous pourrez y déguster une bonne saucisse aux choux avec des röstis. C’est en 1900 que le restaurant fut construit par la famille Bujard, paysans – vignerons à Riex. Ils trouvèrent par ce café le moyen d’écouler leur vin. En 1922, ils vendirent leur restaurant à M et Mme Angèle et Daniel Banderet. M et Mme Banderet avaient visité plusieurs établissements mais choisirent celui-ci car le « toit était bon ». Ils s’installèrent en juillet 1922. A ce moment-là, il n’y avait ni eau, ni électricité, ni route. L’électricité a été installée en 1923 et le téléphone en 1931. L’eau a été amenée en 1939 et la route fut construite en 1971. A la suite d’un orage en juin 1942, le feu détruisit le café et pratiquement rien n’a pu être sauvé. Il a fallu tout reconstruire, plus beau qu’avant ! Les murs en pierre sont donc d’origine et c’est à ce moment-là que le café devint un chalet. Un membre du Club Alpin Suisse, section des Diablerets, a offert une table à la suite de l’incendie. Cette table est toujours visible dans le restaurant, pensez-y lors de votre prochaine visite. Malgré le décès de son mari, Mme Angèle Banderet continua à s’occuper du restaurant avec l’aide de sa fille jusqu’en 1980. Bien qu’ayant déposé sa patente en 1968, ce n’est qu’en 1980 que Mme Angèle Cossy-Banderet repris le commerce suite au décès de sa maman. Elle entreprit de nombreux travaux afin d’améliorer le confort du café. Elle tint le restaurant jusqu’en 2003, date à laquelle elle passa le relais à sa petite-fille, Christine Martin-Cossy. Le restaurant est donc dans la famille depuis de nombreuses années et est, pour de nombreux vaudois, synonyme de souvenirs tels que courses d’école, repas entre amis ou famille, rendez-vous amoureux, etc…

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RestaurantCafé, RestaurantCuisine suisseBanquet
Route de la Tour-de-Gourze 26, 1097 Riex
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Haut lieu de la fondue vaudoise !

Le café-restaurant de la Tour de Gourze vous propose bien-entendu des spécialités aux fromages mais également des assiettes de viandes froides et des desserts copieux, comme par exemple des meringues à la double crème de gruyère, des gâteaux aux fruits « fait-maison » le dimanche. En période hivernale, vous pourrez y déguster une bonne saucisse aux choux avec des röstis. C’est en 1900 que le restaurant fut construit par la famille Bujard, paysans – vignerons à Riex. Ils trouvèrent par ce café le moyen d’écouler leur vin. En 1922, ils vendirent leur restaurant à M et Mme Angèle et Daniel Banderet. M et Mme Banderet avaient visité plusieurs établissements mais choisirent celui-ci car le « toit était bon ». Ils s’installèrent en juillet 1922. A ce moment-là, il n’y avait ni eau, ni électricité, ni route. L’électricité a été installée en 1923 et le téléphone en 1931. L’eau a été amenée en 1939 et la route fut construite en 1971. A la suite d’un orage en juin 1942, le feu détruisit le café et pratiquement rien n’a pu être sauvé. Il a fallu tout reconstruire, plus beau qu’avant ! Les murs en pierre sont donc d’origine et c’est à ce moment-là que le café devint un chalet. Un membre du Club Alpin Suisse, section des Diablerets, a offert une table à la suite de l’incendie. Cette table est toujours visible dans le restaurant, pensez-y lors de votre prochaine visite. Malgré le décès de son mari, Mme Angèle Banderet continua à s’occuper du restaurant avec l’aide de sa fille jusqu’en 1980. Bien qu’ayant déposé sa patente en 1968, ce n’est qu’en 1980 que Mme Angèle Cossy-Banderet repris le commerce suite au décès de sa maman. Elle entreprit de nombreux travaux afin d’améliorer le confort du café. Elle tint le restaurant jusqu’en 2003, date à laquelle elle passa le relais à sa petite-fille, Christine Martin-Cossy. Le restaurant est donc dans la famille depuis de nombreuses années et est, pour de nombreux vaudois, synonyme de souvenirs tels que courses d’école, repas entre amis ou famille, rendez-vous amoureux, etc…

Note 4.7 sur 5 étoiles pour 13 évaluations

 Fermé – Ouvre aujourd’hui à 10:00
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